La semaine dernière, nous avons publié trois perspectives sur le marché du travail. Aujourd’hui, nous analysons l’une d’entre elles pour en apprendre davantage sur le potentiel du secteur du gaz naturel liquéfié (GNL) au Canada et ses répercussions sur la main-d’œuvre au Canada. Examinons Exploration du GNL au Canada!

Au Canada, 23 projets d’exportation de GNL ont été proposés jusqu’à maintenant : 19 en Colombie-Britannique, 1 au Québec et 3 en Nouvelle-Écosse. On considère également la conversion de Canaport LNG du Nouveau-Brunswick d’une installation d’importation de GNL à une installation d’exportation.

En plus de ces projets, six projets nouveaux ou en développement de pipelines (gazoducs) ont été annoncés en Colombie-Britannique dans le but de fournir l’infrastructure nécessaire pour raccorder le gaz naturel produit au nord-est de la province aux installations de production de GNL proposées sur la côte ouest de la province. On ne propose pas de nouveaux pipelines sur la côte est.

Exploration du GNL au Canada donne une vue d’ensemble de la main-d’œuvre nécessaire en construction, ainsi que pour les secteurs en amont, intermédiaires et en aval si la construction d’une grande installation de GNL d’une capacité de deux trains et d’une usine de taille moyenne d’une capacité de deux trains est lancée d’ici la fin de 2020.

Notre premier blogue sur le GNL portera sur les besoins de main-d’œuvre du sous-secteur de la construction sur place.

Construction sur place

À elle seule, l’étape de la construction sur place pourrait nécessiter de 3 300 à 5 200 travailleurs en période de pointe, selon l’ampleur d’un projet de GNL. En outre, en supposant qu’un projet de pipeline aille de l’avant en Colombie-Britannique, les besoins de main-d’œuvre sur place devraient atteindre un sommet d’environ 4 300 travailleurs au cours de la troisième année du calendrier de construction.

Le tableau de droite désigne le pic de la demande pour les principales professions nécessaires à la construction de deux installations de GNL et d’un pipeline. La plupart des professions en construction ne sont pas nécessaires pour l’ensemble du calendrier de construction et, par conséquent, la demande pour les professions atteindra un sommet à des moments différents, selon les tâches à exécuter.

Demain, nous examinerons les besoins en main-d’œuvre dans les secteurs en aval et intermédiaires nécessaires pour stimuler le secteur du GNL. Restez à l’écoute!

Avez-vous manqué la publication des perspectives du marché du travail de PetroLMI la semaine dernière? Apprenez-en davantage à leur sujet dans notre billet de blogue de la semaine dernière!

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