C’est aux ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes que l’on doit les gadgets et le matériel informatique perfectionnés qui font partie de nombreuses activités pétrolières et gazières. Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes font tout le travail de préparation et de développement nécessaire à la modification ou à l’intégration des réseaux du système informatique, de l’information et des communications. Dans l’industrie du pétrole et du gaz, cela signifie qu’ils sont les cerveaux derrière les systèmes complexes de production et de traitement, les systèmes de têtes de puits de surface, l’équipement de contrôle des fluides haute pression et des systèmes de chargements portuaires.

Une journée de travail typique :

Au fil des ans, l’industrie du pétrole et du gaz est devenue de plus en plus automatisée et complexe. Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes sont responsables des innombrables processus, procédés, matériels et logiciels qui font fonctionner cette industrie. Ils font de tout, allant de la recherche à la planification et à la conception des systèmes, en passant par la mise au point, la mise à l’essai et l’intégration du matériel informatique, du matériel de télécommunications et d’autres systèmes de communication des données.

Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes élaborent des systèmes complexes de production et de traitement, puis ils trouvent des moyens de récupérer, de stocker et de manipuler les données à des fins d’analyse. Leur travail peut être très spécialisé ou technique, ou encore, il peut être plus général, tout dépendant de leur préférence et de leur expérience. Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes qui travaillent sur un outil de fond de puits auront une expérience complètement différente de ceux qui intègrent du matériel de télécommunications ou qui s’occupent de réseaux de fibres optiques.

Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes ont habituellement un horaire de 40 heures par semaine et travaillent pour des fabricants de matériel informatique et de télécommunications, dans des entreprises de génie, de fabrication et de télécommunications et dans des cabinets d’expertise de technologie de l’information.

Types de problèmes susceptibles de se présenter dans le quotidien des ingénieurs informaticiens/ ingénieures informaticiennes :

Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes font la résolution des problèmes qui leur sont soumis et présentent des solutions et des options de haute technologie qui cadrent avec les objectifs de l’entreprise. Cela pourrait être une tâche aussi précise que celle de développer un capteur qui pourra arrêter une station de compression au moment de l’ouverture d’une certaine soupape. Ils pourraient aussi se spécialiser dans le développement de matériel informatique pour les dispositifs intégrés à l’équipement pétrolier et gazier. Peu importe le problème, les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes font la recherche nécessaire et trouvent des solutions raisonnables, ponctuelles et rentables pour l’entreprise.

Compétences les plus souvent employées :

Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes possèdent de vastes connaissances en électronique et même une certaine expertise en mécanique, puisque les technologies informatiques sont souvent très utilisées dans les procédés mécaniques sur le terrain. Ils comprennent l’informatique, l’électronique, l’ingénierie et les systèmes. Cela dit, ils ne font pas seulement affaire à des machines. Ils doivent aussi entrer en interaction avec des techniciens, des concepteurs et des utilisateurs pour des raisons de formation, de mise en œuvre de projets et d’entretien.

Les ingénieurs informaticiens/ingénieures informaticiennes trouvent des solutions à des problèmes complexes, qu’il s’agisse d’un outil pour tête de puits qui reçoit des données de température et les envoie à l’appareil de forage pour que les géologues les étudient, d’un outil qui reçoit des données vibratoires émises par des géophones et qui les envoie à des experts en séismes à des fins d’analyse, ou d’une boîte de commande liée au chevalet de pompage. Si la solution a un caractère technologique, ils sont de la partie.

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